Spécialisée dans l'accompagnement des sportifs et des enfants
Plus qu'une technique, ici, l'hypnose se place comme un outil de communication, un mode de relation, un processus naturel qui nous permet de détacher une partie de notre esprit pour permettre une meilleure appréhension des événements de la vie.
Du choc de l’annonce jusqu’aux derniers instants, si la douleur est souvent le « symptôme d’appel » qui amène à la consultation, l’hypnose aura en fait une utilité beaucoup plus vaste : du soutien aux différentes étapes de la fin de vie c’est-à-dire du choc de l’annonce aux derniers instants, à la diminution de l’anxiété face à la mort, aux besoins de réconciliation et de pardon, au développement de la spiritualité, au règlement d’affaires familiales ou sociales, à tous les besoins d’ordre psychologique exprimés dans l’instant par la personne et dont le seul objectif est l’apaisement libératoire dans ses derniers instants de vie.
Souvent placé dans un rôle passif de consommateurs de médicaments, l’expérience de l’hypnose, de l’autohypnose, permet de participer ainsi activement au soulagement de leur souffrances physiques et psychologiques. Et de retrouver ainsi un certain contrôle sur sa condition de vie tout en lui donnant un sens, son sens.
Elle lui permettra également de retrouver des désirs et de s’extraire d’un état uniquement dédié à l’attente de la mort.
Il conviendra de s’attacher aux besoins de l’instant exprimés par la personne, d'aller à l’essentiel tout en s’adaptant pleinement à son état physique et psychologique et en tenant compte de son environnement social et familial, comme les proches qui, en n’acceptant pas ou en acceptant trop vite la fin proche du patient, l’empêchent d’évoluer vers cette fin de vie en toute sérénité.
L'accompagnement sur la fin de vie concerne bien évidemment les proches, comment continuer à vivre ? Nous qui restons avec nos doutes, nos peurs, nos inquiétudes, ...?